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Organiser son voyage en Islande

L’Islande, pays de tous les superlatifs. J’en rêvais depuis tellement longtemps que j’ai cru que je n’allais jamais y aller. Mais si, c’est chose faite. Et maintenant je ne rêve que d’une chose, y retourner. J’ai été émerveillé à chaque virage, à chaque cascade, à chaque canyon… Ce pays est une découverte de la nature et un retour aux sources.
Pendant des mois, nous avons imaginé ce voyage, peaufiné l’itinéraire et nous nous sommes aussi posé beaucoup de questions. Quelle est la meilleure période pour y aller ? Faut-il obligatoirement louer un 4×4 ? Que faut-il savoir pour conduire en Islande ? Quelles sont les activités incontournables ? Bref, autant de questions auxquelles j’ai essayé de répondre dans cet article pour vous aider à préparer au mieux votre road trip en Islande !

Visa et formalités d’entrée pour l’Islande

L’Islande est signataire des Accords Schengen de ce fait pour tout voyage inférieur à 3 mois, les ressortissants européens sont dispensés de demande de visa. Par contre il faudra en faire la demande pour tout séjour plus long. Il faut également s’assurer que votre passeport soit valide toute la durée du séjour.

Quand partir ?

L’Islande est un pays qui se visite toute l’année. Il n’y a donc pas de meilleure période pour partir en Islande. Tout dépendra de ce que vous souhaitez voir et vivre pendant votre voyage.

En été (juin à septembre) les journées sont plus longues, toutes les routes sont ouvertes et la météo est relativement agréable. Le sud de l’île possède des températures moyennes maximales proches des 12 à 13 °C en été, et notamment au mois de juillet, le plus chaud. Lorsque le vent se fait plus calme, et que l’ensoleillement est maximal, une belle journée d’été peut voir le mercure monter au-dessus des 20 à 25 °C. Pendant les mois d’été, il ne fait presque jamais nuit en Islande. Ce phénomène est plus marqué en juin et en juillet, avec une lumière bien particulière qui efface les repères jour/nuit. Cette présence prolongée de la lumière est due à la latitude de l’Islande. Cependant, en été, les prix sont plus élevés car il y a plus d’affluence des touristes.

Au printemps et à l’automne, les tarifs sont bien plus abordables, les touristes se font plus rares et vous pouvez même apercevoir quelques aurores boréales. La météo est un peu plus capricieuse mais votre voyage est encore agréable. Par contre, le centre de l’Islande et les Hautes Terres ou Highlands sont déjà inaccessibles.

En hiver (novembre à mars), les tarifs sont plus abordables et les touristes très rares. Les paysages enneigés sont magiques et les aurores boréales beaucoup plus probables. Le climat est très froid notamment sur la partie nord. En effet, il est fréquent d’observer un mercure voisin des -25 à -30 °C. Les plaines du sud de l’Islande possèdent le climat le plus doux en hiver avec des moyennes de 0 °C. Pendant l’hiver, les périodes nocturnes sont dominantes, et le soleil ne perce que très peu dans le ciel.

Attention au vent

L’un des éléments clés de la météo en Islande est le vent. Venus de l’Ouest, les vents sont présents toute l’année, ils sont responsables de ces brusques changements de temps et ils accentuent l’impression de froid. D’ailleurs, la langue islandaise comporte huit noms différents pour désigner les divers degrés de vent, depuis Logn, vent calme à rok, vent violent. Et le vent violent, ce caractérise par des rafales à 140 km/h. Pas de la rigolade.

Un climat changeant

Le climat islandais se caractérise par de brusques variations météorologiques et thermiques. Point de contact entre les courants polaires du Groenland et les vents du sud, chauds et humides, les terres d’Islande sont soumises à un climat imprévisible et tourmenté. D’ailleurs, un proverbe islandais décrit cela avec beaucoup d’humour : « Si le temps qu’il fait vous déplaît, attendez cinq minutes ! ». Pour cette raison, vous devez toujours prévoir une tenue vestimentaire qui puisse s’adapter facilement à ces nombreux changements.

Le soleil de minuit et les aurores boréales

Deux phénomènes propres à la latitude de l’Islande sont à observer si vous réalisez un voyage sur l’île. Le premier se déroule en été et est baptisé soleil de minuit. Il s’agit de ce moment auquel le soleil commence sa descente pour aller se coucher, mais ne disparaît finalement pas pour ensuite revenir dans le ciel. Le second phénomène, plus connu, est les aurores boréales. Des voiles très colorés se forment alors dans le ciel la nuit, avec une couleur verte prédominante.

Comment s’y rendre ?

L’Islande étant une île dans l’océan Atlantique à mi-chemin entre l’Amérique et l’Europe, il n’y guère d’autres solutions que l’avion ou le ferry pour y aller. La compagnie islandaise Icelandair fait régulièrement des promotions hors-saison et vous pouvez trouver des billets d’avion pas cher en cherchant bien, notamment sur les moteurs de recherche comme Skyscanner

C’est aussi une bonne idée de découvrir l’Islande en escale de quelques jours lors d’un voyage entre l’Europe et l’Amérique du Nord. L’aéroport de Keflavik est devenu un gros hub aérien entre les deux continents et les compagnies islandaises proposent des tarifs vraiment intéressants pour les vols transatlantiques.

Si vous souhaitez rejoindre l’Islande avec votre propre véhicule, il est aussi possible de prendre le ferry depuis Hirtshals dans le nord du Danemark jusqu’à Seyðisfjørður situé à l’est de l’Islande. La compagnie Smyril Line effectue une liaison 1 fois par semaine avec une escale aux îles Féroé.

Comment rejoindre Reykjavík depuis l’aéroport ?

L’arrivée en Islande se fait à l’aéroport International de Keflavík situé à environ 50 kilomètres de Reykjavik. Si vous avez prévu de faire un roadtrip pendant votre voyage en Islande, la solution la plus simple sera de récupérer votre voiture de location ou votre van directement à l’aéroport.

Si vous ne souhaitez pas louer de voiture en Islande, ou que vous souhaitez passer quelques jours à Reykjavik avant de récupérer votre voiture de location, la solution la plus économique pour votre transfert sera de prendre le Flybus. Le trajet simple coûte environ 21€ par personne. Il existe aussi une option Flybus+ pour vous faire déposer directement à votre hôtel. Je vous conseille de réserver votre place en avance car les navettes sont parfois petites. Les bus partent 35/40 min après l’arrivée de chaque vol, ensuite il y a environ 45 minutes de route.

Il y a également des taxis, mais les prix sont très élevés. Le prix de la course tourne autour des 120 CHF ou 100 euros.

Combien de temps partir ?

Si vous souhaitez faire le tour de l’Islande, je vous conseille de compter au minimum 10 à 15 jours sur place. Pour notre part, nous avons fait le tour de l’Islande en 15 jours sans avoir l’impression de courir, même si les journées étaient quand même bien chargées. Il faudra compter 3 semaines minimum si vous souhaitez aussi découvrir la région de Landmannalaugar (uniquement accessible en été) et les fjords de l’ouest. 

La durée de votre séjour peut aussi dépendre de la période à laquelle vous partez en Islande. En hiver par exemple, il faudra peut-être prévoir du temps supplémentaire au cas où les conditions climatiques changent vos plans (tempête de neige, blizzard…). Mais une chose est sûre : plus vous aurez de temps, plus vous pourrez découvrir les merveilles de l’Islande.

Si vous n’avez qu’une semaine, ça sera bien trop court pour faire le tour de l’Islande. Par contre ça vous laissera suffisamment de temps pour découvrir le sud de l’île, la péninsule de Snaefellsnes ou le Cerce d’or par exemple. Il faudra faire des choix, mais il y a des endroits incroyables partout sur l’île, même pour les courts séjours.

Conduire en Islande : ce qu’il faut savoir 

La voiture est le moyen le plus simple pour se déplacer en Islande. Il faut savoir que l’Islande est un des rares pays au monde où il n’y a pas de train, et les transports en commun se font assez rares. Je vous conseille donc de louer une voiture si vous souhaitez voyager à travers le pays.

En Islande, la conduite est à droite, comme en Suisse. La vitesse est limitée à 50 km/h en ville, 80 km/h sur route gravillonnée et 90 km/h sur route asphaltée. Je vous suggère de bien respecter les limitations de vitesse sous peine de payer de très lourdes amendes ! En effet, les contraventions s’élèvent à plusieurs centaines d’euros. Pour l’alcool, la tolérance est de 0.

Les routes en Islande sont très variées mais ce n’est pas très compliqué pour s’y retrouver. Il existe la road 1 : c’est la route principale, celle qui fait le tour de l’île. Elle est accessible toute l’année (sauf conditions météorologiques extrêmes) et dessert les villes principales.

Ensuite, vous trouverez des routes secondaires avec 2 chiffres (22 à 99) qui sont bien entretenues. Puis les routes à 3 chiffres, goudronnées ou gravillonnées, qui peuvent être dans des états variables. Certaines sont bien accessibles et d’autres en très mauvais état. Méfiez-vous avant de vous y engager.

Enfin, les F-roads sont les routes de montagne, qui traversent les Hautes Terres ou Highlands à l’intérieur du pays. Celles-ci sont ouvertes uniquement en été et accessibles en 4×4 uniquement. Pour vérifier l’état des routes, pensez aux sites safetravel et road.is.

Toutes les routes sont gratuites à l’exception du tunnel du Vadlaheidi qui relie Akureyri au nord de l’Islande. Les frais de péage sont de 1.500 ISK (+/- 10€) et doivent être payés en ligne dans les trois heures avant ou après le passage du tunnel. Il ne permet de raccourcir le trajet que de 16 km, mais évite une route qui peut être dangereuse en hiver. Pour le contourner, vous pouvez suivre les routes 84 et 83 qui font le tour du fjord jusqu’à Akureyri. Quand les conditions sont bonnes, cet itinéraire est parfaitement praticable et permet d’économiser le péage. Et franchement la vue sur la côte mérite le petit détour. Depuis 2018, le tunnel de Hvalfjordur qui relie Reykjavik à Akranes est gratuit.

Pour l’essence, pensez à faire le plein régulièrement. Certaines stations sont parfois distantes d’au moins 50 km. J’avoue que nous avions très peur mais nous avons pu trouver des stations tout au long du chemin.

Les compagnies classiques de location de voiture sont présentes dans l’aéroport (Avis, Budget, Europcar, Hertz) et les compagnies locales (Geysir, Blue Car Rental…) ainsi que les compagnies pour les vans (kukucampers, campeasy, gocampers…) se trouvent à l’extérieur.

Faut-il obligatoirement un 4×4 pour un road trip en Islande ?

Pour la location de la voiture, plusieurs éléments entrent en compte. Votre budget déjà, mais aussi vos envies d’aventures et de découvertes. Un véhicule de tourisme classique suffira pour la route 1 et la majeure partie des routes secondaires. Ceux-ci sont équipées de pneus neige et cloutées en hiver.

Cependant, si vous souhaitez emprunter les F-roads ou vous rendre à Landmannalaugar, la région des Hautes Terres située dans le centre de l’Islande en été ou vous aventurer davantage hors saison, alors privilégiez la location d’un 4×4 car il est interdit d’emprunter les F-roads sans 4×4. Bien sûr que personne ne contrôlera vos déplacements mais si vous avez des dommages sur la voiture ceux-ci ne seront pas pris en charge par l’assurance. Et croyez moi, les F-roads sont parfois en très mauvais état.

Conclusion, même si louer un 4×4 n’est pas obligatoire pour faire le tour de l’Islande, nous n’avons pas regretté notre choix. En sortant de la route 1 pour rejoindre un camping ou un point d’intérêt, nous sommes tombé rapidement sur des chemins cabossés avec des nids-de-poule et des graviers un peu partout. Nous nous sommes aussi trompés de route une fois ou deux, et le 4×4 a toujours été le bienvenu.

Van

Pour notre part, nous avons décidé de louer un van aménagé. C’est un très bon choix si comme nous, vous voulez être libres de vous arrêter ou bon vous semble, tout en étant tranquilles pour trouver un logement.

Car n’oublions pas qu’un voyage en Islande c’est un certain budget : entre la nourriture et le logement on arrive facilement à plusieurs centaines de francs. Si en plus on parcourt le pays en été, il faut prévoir un peu à l’avance son itinéraire et réserver ses logements en amont. C’est donc bien plus économe un van aménagé car vous pouvez tout y faire. Dormir, manger et rouler. Une formule gagnante dans ce pays aux prix très élevés.

Après quelques recherches, nous sommes arrivé à la conclusion que Campeasy était le plus abordable et offrait le meilleur rapport investissement / services proposés. Car n’oubliez pas que pour comparer vous devez penser non seulement au prix de la location (avec les réductions possibles selon la période) mais aussi aux différents services inclus ou à ajouter : couettes / sac de couchage, gaz, chaises et tables… Bref ça prend un peu de temps.

Mais c’est un secteur qui bouge énormément, donc je vous conseille, avant de louer, de faire un tour sur Motorhome Republic pour voir les meilleurs tarifs pour votre période.

Le van c’est la liberté de rouler et s’arrêter pour dormir où l’on veut. Seul bémol, l’Islande étant submergée par les touristes, a décidé depuis quelques années qu’il fallait encadrer tout ça et depuis le bivouac sauvage est interdit. De plus, avec les restrictions dues au COVID-19, il y a une limitation du nombre de campeurs accepté. Par conséquent, les campings sont parfois pleins mais il est impossible de les réserver à l’avance. Prévoyez d’arriver assez tôt (18h) pour ne pas vous retrouver sur le parking (expérience faite).

Hébergements

En Islande, les hébergements les plus répandus sont les guesthouses. Il s’agit de petits établissements à mi-chemin entre l’hôtel traditionnel et la maison d’hôtes. Elles ont pour la plupart beaucoup de charme et le petit déjeuner est inclus. Les sanitaires peuvent être privés ou partagés, ce qui permet de faire des économies sur le prix de la nuit. Selon votre budget, vous trouverez aussi des hôtels traditionnels, des refuges et des auberges de jeunesse. Pendant la haute saison, les établissements sont souvent pris d’assaut. Nous vous conseillons de réserver vos hébergements le plus tôt possible pour trouver le meilleur rapport qualité-prix.

Comme vous avez pu le lire, nous avons décidé d’associer l’utile à l’agréable en louant un van. Nous avons choisi de faire notre tour à l’envers des aiguilles d’une montre. Nous avons dormi dans des campings tout au long du chemin, je vous laisse ici la liste dans l’ordre avec quelques commentaires.

  1. Thingvellir Campsite : petit camping qui se trouve au parc national de Thingvellir. Vous y trouverez deux toilettes et deux douches, plus un petit couvert pour laver la vaisselle. Pas le meilleur camping mais efficace.
  2. Fuldir Campsite : très grand camping, bien équipé avec plusieurs douches et toilettes. Vous y trouverez aussi une grande tente avec des tables et bancs pour s’abriter en cas de pluie.
  3. Skogar Campsite : camping qui se trouve en face de la chute d’eau “Skogafoss”. Le grand plus de ce camping est sans doute la vue. Autrement, vous partagez les toilettes avec les touristes et vous avez deux douches payantes à côté de la réception. Un local pour la vaisselle est disponible mais pas à l’abri quand il pleut.
  4. Skaftafell Campsite : camping au parc national de Skaftafell. Assez grand et très bien équipé. Malheureusement pour nous, nous sommes arrivés trop tard et le camping été plein le soir-là. Nous avons donc dormi sur le parking (en sauvage) et avons utilisés les toilettes du centre visiteurs du parc.
  5. Fossadarlur Campsite : accès un peu difficile par une route non goudronnée puis en haut de la montagne vous trouverez ce petit coin de paradis. Un camping avec tout ce qu’il faut. Douches chaudes, toilettes, petit couvert pour la vaisselle et même machine à laver.
  6. Modrudalur Campsite : camping bien situé mais accès difficile par une route non goudronnée. Installations précaires et pas très propres mais pour une nuit ça passe. Seul camping avec un restaurant.
  7. Losá Campsite : petit camping proche du centre-ville d’Akureyri. Notre pire nuit. Nous avons très mal dormi. En arrivant, plusieurs jeunes étaient déjà sur place mais il n’y avait pas trop de bruit. Or vers 2h impossible de dormir car nous nous sommes retrouvés au milieu d’une fête de jeunes islandais. Autrement, les toilettes du camping étaient dans un état pitoyable, il n’y avait plus de lumière et pas de douches.
  8. Campsite at Saeberg : un excellent camping trouvé par hasard car nous étions trop fatigués pour continuer notre route. C’est aussi une auberge de jeunesse. Vous y trouvez des toilettes et douches chaudes, une grande salle chauffée pour cuisiner, manger et profiter. Le grand plus est le petit hot tub dehors avec une vue splendide sur le lac.
  9. Grindavik Campsite : camping très bien équipé avec salle commune, toilettes, douches chaudes et surtout très proche du volcan Fagradalsfjall.

Pour être sûr de passer une bonne nuit au calme, nous avons décidé de réserver un Airbnb au milieu de notre séjour, vers Myvátn. Je ne peux que vous conseiller cette petite cabane pourtant tellement bien équipée. La vue sur le champ de lave et sur le lac est incroyable.

Nous avons aussi réservé un petit cottage dans un camping à Arnastapi. Ce cottage fut un véritable nid douillet.

Où manger ?

Personnellement, nous avons fait beaucoup à manger nous-même. Le prix des restaurants reste assez élevé (même pour nous, petits suisses, habitués aux prix excessifs). Ici vous trouverez l’article sur mes bonnes adresses en Islande (à venir bientôt).

Nous avons fait nos courses surtout dans les magasins Bonus, Nettó et Krónan, où les prix restent acceptables. Il y en a dans toutes les grandes villes. Ce sont des hypermarchés donc vous trouverez presque de tout : légumes, fruits, denrées non périssables, etc. Nous mangions principalement du riz, des pâtes ou des sandwichs maison.

Le petit plus en Islande, c’est que dans les locaux de l’agence de location du van ainsi que dans plusieurs campings, vous pourrez faire le plein de produits divers (épices, pâtes, gâteaux…) en libre service (il s’agit des produits achetés au cours des voyages, que les gens n’ont pas terminé, voir pas entamé du tout, ça évite le gaspillage et c’est bien pratique.)

Activités

Lors de l’organisation de notre voyage, nous avons aussi choisi les activités que nous voulions faire tous les deux, pour pouvoir faire les réservations nécessaires. En effet, prévoyez un minimum à l’avance car les places sont limitées et le budget peut être très conséquent.

Voici la liste des activités payantes que nos avons choisi :

Conseils et astuces
  • Il y a un décalage horaire de deux heures avec la Suisse en été et d’une heure en hiver.
  • La météo: le site vedur.is est très complet pour connaître les conditions météorologiques en Islande.
  • L’Islande est clairement un pays “cashless” donc vous n’aurez pas besoin de retirer de couronnes islandaises pour faire vos achats : tout se paye par carte bancaire partout en Islande ! D’ailleurs, je vous déconseille de retirer du cash car la commission prise sur place par les banques est hors de prix.
  • Pourboire: ils sont plutôt facultatifs en Islande.
  • Électricité: les prises électriques sont les mêmes qu’en France, pour les suisses, pensez donc à l’adaptateur.
  • Il faut se doucher tout nu à la piscine avant d’aller se baigner.
  • L’eau chaude dans la salle de bain sent l’œuf pourri à cause du souffre. C’est un peu bizarre au début, mais c’est très bon pour la peau et les cheveux.
  • L’eau est potable partout. N’achetez pas des bouteilles d’eau.
  • Beaucoup d’islandais croient aux elfes, trolls et autres fées mystérieuses et il y a même une école des Elfes à Reykjavik où l’on peut décrocher un diplôme en “études et recherches sur les elfes et autres peuples invisibles”.
  • Les chevaux islandais sont vraiment trop “mignons”. Tout petits, vous allez en croiser beaucoup sur les bords des routes islandaises.

Hey je suis Joana la creatrice de ce blog de voyage, je suis heureuse de partager avec vous mes experiences et quelques petits conseils. N'hesitez pas a laisser un commentaire si cette article vous a plu ou a ajouter vos idees ! Merci de votre visite sur mon blog.

- Joana -

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